Pour mieux observer les évolutions structurelles, RTE procède à la correction de l’aléa climatique, et du 29 février pour les années bissextiles. La consommation corrigéeConsommation d’électricité qui aurait été observée si les températures avaient été les températures de référence, et s’il n’y avait pas eu de 29 février pour les années bissextiles. correspond ainsi à la demande qui aurait été observée si les températures avaient été les températures de référence, pour une année de 365 jours.
Hors secteur de l’énergie, la consommation corrigéeConsommation d’électricité qui aurait été observée si les températures avaient été les températures de référence, et s’il n’y avait pas eu de 29 février pour les années bissextiles. des aléas climatiques et des effets calendaires atteint 474 TWh en 2018, soit un niveau relativement stable par rapport à 2017 (-0,3%) mais aussi sur les dix dernières années.
A noter : l’étude de la consommation corrigéeConsommation d’électricité qui aurait été observée si les températures avaient été les températures de référence, et s’il n’y avait pas eu de 29 février pour les années bissextiles. nécessite d’exclure du périmètre le secteur de l’énergie, ce dernier étant fortement impacté en 2012 par le changement de procédé d’enrichissement de l’uranium, entraînant une forte réduction de consommation.